« Tu peux serrer dans ta main une abeille jusqu'à ce qu'elle étouffe. Elle n'étouffera pas sans t'avoir piqué. C'est peu de choses, mais si elle ne te piquait pas, ça fait longtemps qu'il n'y aurait plus d'abeilles. »
« Les murs ont des oreilles. »
« J'ai la faculté d'assimiler la connerie ambiante comme les abeilles butinent les fleurs et prennent le pollen pour en faire leur miel. »
« On peut considérer l'homme comme un animal d'espèce supérieure qui produit des philosophes et des poèmes à peu près comme les vers à soie font leurs cocons et comme les abeilles font leurs ruches. »
« Celui qui n'a pas bâti de maison croit que les murs sortent de terre. »
« La liberté est dans le geste : écrire. Emprisonnés même, on peut encore écrire sur les murs, faire signe de liberté. »
« Celui qui vit loin des hommes ressemble aux raisins mûrs. Et celui qui vit avec eux ressemble aux raisins verts. »
« Que les gens ne montrent pas trop d'assurance dans leurs jugements, comme celui qui, dans un champ, estime les blés avant qu'ils ne soient mûrs. »
« Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts. »
« Le clonage véritable n'est pas dans les éprouvettes mais sur nos murs, dans nos magasins et sur nos journaux ! »
« Heureux ceux qui sont morts, car ils sont retournés - Dans la première argile et la première terre. - Heureux ceux qui sont morts dans une juste guerre. - Heureux les épis mûrs et les blés moissonnés... »
« Pourquoi dit-on que les murs ont des oreilles, alors que c'est aux portes qu'on écoute ? »
« Ce n'est pas toujours par manque de briques qu'on rencontre plus souvent des petits murs. »
« L'apiculteur était communiste par amour des abeilles dont il admirait l'organisation. La reine lui posait un problème. »