« Il est moins facile de régler le cœur que de le troubler. »
« Il y a toujours deux chances pour ne pas retrouver l'ami que l'on quitte : notre mort ou la sienne. »
« La raison consiste à analyser les choses et à les élaborer. »
« La pensée agit sur le corps d'une manière inexplicable ; l'homme est peut-être la pensée du grand corps de l'univers. »
« Le principe de tous les maux pour l'homme, de la bassesse, de la lâcheté, ce n'est pas la mort, mais plutôt la crainte de la mort. »
« Je reprends des forces dans le sein de ma mère. »
« On s'irrite moins en fonction de l'offense reçue qu'en raison de l'idée qu'on s'est formée de soi. »
« C'est la providence qui nous dirige, lorsqu'elle nous destine à jouer un rôle sur la scène du monde. »
« L'essence de la philosophie est qu'un homme devrait vivre de manière à ce que son bonheur dépende aussi peu que possible de causes extérieures. »
« Ce n'est pas par la satisfaction du désir que s'obtient la liberté, mais par la destruction du désir. »
« Il est des degrés entre les pauvres comme entre les riches. »
« Le grand tort des hommes, dans leur songe de bonheur, est d'oublier cette infirmité de la mort attachée à leur nature. »
« Nul ne peut te léser, si tu ne le veux point, car tu ne seras lésé que si tu juges qu'on te lèse. »
« Pour conserver longtemps le cœur de son amant, il faut toujours que l'espérance et la crainte agissent sur lui. »