« La question ne se pose pas. Elle en est absolument incapable : il y a trop de vent. »
« Le zèle mène toujours un peu trop loin, mais parfois il est nécessaire. »
« Communiquer ! Le grand mot, mais comme on en abuse ! Il signifie donner : on en fait le synonyme d'échanger. »
« Il y a une certaine volupté à se laisser couler dans le désastre : quand il n'y a presque plus rien à perdre, autant tout perdre. »
« Dans l'extrême jeunesse, l'on est trop enclin, comme les femmes, à croire que les larmes dédommagent de tout. »
« Il est trop tard pour délibérer quand l'ennemi est aux portes. »
« La vision trop subtile use les yeux de l'homme. L'ouïe trop fine use les oreilles de l'homme. L'ambition démesurée use l'esprit de l'homme. »
« Dieu est-il le rêve de l'humanité ? Ce serait trop beau. L'humanité est-elle le rêve de Dieu ? Ce serait abominable. »
« L'homme qui est pessimiste à 45 ans en sait trop, celui qui est optimiste après n'en sait pas assez. »
« La vraie pauvreté est celle de l'âme, une pauvreté dans laquelle le mental est toujours dans un tourbillon créé par les doutes, les soucis et les craintes. »
« Même quand on a le temps de perdre du temps, il faut encore trouver les jeunes femmes avec lesquelles le perdre. »
« Il faut écrire le plus possible comme on parle et ne pas trop parler comme on écrit. »
« Voulez-vous nuire à quelqu'un ? N'en dites pas de mal, dites-en trop de bien. »
« On meurt pour ce qui est fort, non pour celui qui est faible. Mourir pour ce qui est fort fait perdre à la mort son amertume. »