« Tu ne boiras ni vin, ni boisson enivrante, toi et tes fils avec toi, lorsque vous entrerez dans la tente d'assignation, de peur que vous ne mouriez: ce sera une loi perpétuelle parmi vos descendants. »
« Je boirai du lait le jour où les vaches mangeront du raisin! »
« Nous autres le peuple, nous sommes comme la chaudière : c'est la chaudière qui cuit tout le manger, c'est elle qui connaît la douleur d'être sur le feu, mais quand le manger est prêt, on dit à la chaudière : tu ne peux pas venir à table, tu salirais la nappe. »
« Si je pouvais, j'abolirais les belles-mères. »
« Monsieur, si j'étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre café. - - Madame, si j'étais votre mari, je le boirais. »
« J'avilirais le sceptre à venger mon injure. »
« Le passage au troisième millénaire, en philosophie, c'est peut-être cela : réaliser qu'on n'accomplira des progrès qu'en passant par des pensées minuscules et non plus majuscules. »
« Et qu'importe quel nom on imprimera à la tête de ton livre ou l'on gravera sur ta tombe ? Est-ce que tu liras ton épitaphe ? »
« Beau septembre - Emplira les chambres. »
« Donnez-moi un musée et je le remplirai. »
« Quand je serai grand, je ne lirai pas le journal, je ne m'intéresserai pas aux grands problèmes et je n'irai pas voter. Comme ça, je pourrai me plaindre de ne pas être représenté par le gouvernement. »
« Tout sadisme semble la volonté délirante d'une impossible possession. »
« N'abandonne pas un vieil ami, - le nouveau venu ne le vaudra pas. - Vin nouveau, ami nouveau, - laisse-le vieillir, tu le boiras avec délices. »
« Pour aimer, il faut avoir du courage quand on a de l'argent, et un romantisme délirant lorsqu'on est pauvre. »