« Ah ! Que le temps vienneOù les cœurs s'éprennent. »
« L'enfer ne peut attaquer les païens. »
« Tandis que les crachats rouges de la mitraille - Sifflent tout le jour par l'infini du ciel bleu; - Qu'écarlates ou verts, près du Roi qui les raille, - Croulent les bataillons en masse dans le feu. »
« Allons ! La marche, le fardeau, le désert, l'ennui et la colère. »
« Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides - Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux. »
« La seule chose insupportable, c'est que rien n'est supportable. »
« Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures, - L'eau verte pénétra ma coque de sapin - Et des taches de vins bleus et des vomissures - Me lava, dispersant gouvernail et grappin. »
« Je suis esclave de mon baptême. Parents, vous avez fait mon malheur et vous avez fait le vôtre. »
« Le monde marche ! Pourquoi ne tournerait-il pas ? »
« Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d'hommes. »
« Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres, - Fermentent les rousseurs amères de l'amour. »
« Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises! - Echouages hideux au fond des golfes bruns - Où les serpents géants dévorés des punaises - Choient, des arbres tordus avec de noirs parfums! »
« L'éternitéC'est la mer mêléeAu soleil. »
« Je ne demande pas de prières ; avec votre confiance seulement, je serai heureux. »