« L'éloignement et la longue absence nuisent à toute amitié. »
« Tous les hommes ont mêmes droits... Mais du commun lot, il en est qui ont plus de pouvoirs que d'autres. Là est l'inégalité. »
« C'est pas parce qu'on y voit double qu'à la fin on y voit mieux. »
« Donner, recevoir, partager : ces vertues fondamentales du sportif sont de toutes les modes, de toutes les époques. Elles sont le sport. »
« Le matin, c'est la jeunesse du jour. Tout y est gai, frais et facile. Il ne faut pas l'abréger en se levant tard. »
« La politesse est sage : la grossièreté, par conséquent, stupide. Se faire, sans nécessité et avec intention, des ennemis en commettant des impolitesses, c'est de la frénésie, tout comme de mettre le feu à sa maison. »
« Le football est le reflet de notre société. Regardez bien l'expression d'un joueur sur le terrain, c'est sa photographie dans la vie. »
« Ce n'est plus souvent que la perte des choses qui en enseigne la valeur. »
« Ne pas se rendre au théâtre, c'est comme faire sa toilette sans miroir. »
« L'égoïsme inspire une telle horreur que nous avons inventé la politesse pour le cacher, mais il perce à travers tous les voiles et se trahit en toute rencontre. »
« Le sport est dépassement de soi. Le sport est école de vie. »
« Ni aimer, ni haïr : voilà la moitié de toute sagesse. Ne rien dire et ne rien croire : voilà l'autre. »
« L'homme qui a suffisamment de richesse intérieure préfère rester hors de la société, pour n'avoir rien à donner et rien à supporter. »
« Le médecin voit l'homme dans toute sa faiblesse ; le juriste le voit dans toute sa méchanceté ; le théologien dans toute sa bêtise. »