« Le talent que l'on a profusion ne console pas de celui que l'on préférerait. »
« Les têtes se forment sur les langages, les pensées prennent la teinte des idiomes, l'esprit, en chaque langue, a sa forme particulière. »
« Quand on aime la vie, c'est alors qu'elle même nous aime le plus, comme par un prodige d'entente. »
« Vous ne parviendrez jamais à faire des sages si vous ne faites d'abord des polissons. »
« Il est contre l'ordre naturel que le grand nombre gouverne et que le petit soit gouverné. »
« Si l'on pouvait prolonger le bonheur de l'amour dans le mariage, on aurait le paradis sur la terre. »
« Les seuls qui se rapprochent de vous dans le malheur sont les créanciers. »
« J'appelle éducation positive ce qui tend à former l'esprit avant l'âge, et à donner à l'enfant la connaissance des devoirs de l'homme. »
« Il y a quelque chose d'humiliant à être homme et à ne pas lutter contre le malheur. »
« Il ne faut pas vouloir dévorer la vie. »
« Le bonheur n'a point d'enseigne extérieure ; pour le connaître, il faudrait lire dans le cœur de l'homme heureux. »
« Tant que l'on n'a pas été contenu en un regard, a-t-on la vie ? A-t-on la vie si personne encore ne nous a aimé ? »
« Dévoré du besoin d'aimer sans jamais l'avoir pu bien satisfaire, je me voyais atteindre aux portes de la vieillesse, et mourir sans avoir vécu. »
« C'est là ce qu'on appelle l'âge mûr de l'homme : vivre des provisions amassées en route. »