« Je refuse de me plier à un destin aveugle. La chance va et vient, il faut la saisir, il faut la surmonter. »
« En voyant le dimanche matin les gens jouer au tiercé on se met à penser que l'homme est la moins noble conquête du cheval. »
« Apprends à te connaître : tu t'aimeras moins, et à connaître les autres : tu ne les aimeras plus. »
« Faut-il que la femme d'un ami vaille peu pour ne pas valoir d'avilir trois personnes d'un coup. »
« Il importe en peinture, que le portrait ressemble au modèle, mais non pas le modèle au portrait. »
« Nous vivons une époque où les gens dont on dit qu'ils sortent de l'ordinaire sont généralement des gens qui ont plutôt l'air d'y entrer. »
« On peut toujours interpréter ses rêves et ceux d'autrui ; dans ce domaine aux limites imprécises, une interprétation en vaut une autre, et la logique en est habituellement pour ses frais. »
« La bassesse du socialisme, c'est de poursuivre, non pas le plus grand bien, mais le moindre mal. »
« Faire l'amour c'est encore ce qu'on a trouvé de mieux jusqu'à aujourd'hui, pour lutter contre l'insémination artificielle. »
« Il faudrait considérer ses opinions comme des costumes, et en changer selon la saison, l'heure et le milieu. »
« Il y a de nos jours des fillettes de quatorze ou quinze ans qui devraient être condamnées pour détournement de majeurs. »
« La nuit ça change tout la nuit, c'est merveilleux la nuit. »
« L'argent est une troisième main. »
« J'adore la télévision. En fermant les yeux, c'est presque aussi bien que la radio. »