« La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. »
« Réalité. Le songe d'un philosophe fou. Ce qui resterait dans la coupe si l'on devenait pur esprit. Le noyau d'un vide. »
« Homme, n'as-tu jamais goûté de ton sang, quand par hasard tu t'es coupé le doigt ? Comme il est bon, n'est-ce pas. »
« Et le cruel amour que j'accuse a changé en constante douceur l'amertume de vivre. »
« Les pressentiments dont il est impossible de se défendre, ce sont surtout ceux qui se présentent au moment où la chose se passe loin de nous, et qui ont un air symbolique. »
« Désobéir, c'est franchir une ligne symbolique, assumer l'angoisse de la mort. »
« La tragédie, c'est lorsqu'on se coupe le doigt. La comédie, c'est quand on tombe dans une bouche d'égout ouverte et que l'on meurt. »
« La coupe de nos vicissitudes se remplit d'une liqueur changeante. »
« On meurt pour ce qui est fort, non pour celui qui est faible. Mourir pour ce qui est fort fait perdre à la mort son amertume. »
« La belle-mère apparaît et on se comporte comme le meurtrier d'un roman de Ray Bradbury qui essuie ses empreintes de la pomme tombée de la coupe à fruits. »
« On accepte une coupe de poison de celui qui vous a offert cent coupes de nectar. »
« La femme est comme une coupe d'argent où nous déposons nos fruits d'or. »
« L'arbre qui ne donne pas d'ombre à son propriétaire doit être coupé. »
« L'amertume finit par tuer. »