« Je ne m'en connais d'autres que ceux de l'Eglise et de l'Etat. »
« Qui sait mourir n'a plus de maître. »
« Vous désirez savoir de moi - D'où me vient pour vous ma tendresse; - Je vous aime, voici pourquoi: - Vous ressemblez à ma jeunesse. »
« Les grands embrasements naissent de petites étincelles. »
« Il est bon d'apprendre à mourir - Par volonté, non d'un coup traître: - Souffre-t-on? c'est qu'on veut souffrir; - Qui sait mourir n'a plus de maître. »
« Nul ne voit jamais si clair aux affaires d'autrui que celui à qui elles touchent le plus. »
« En matière d'Etat, il faut tirer profit de toutes choses, et ce qui peut être utile ne doit jamais être méprisé. »
« Je n'aime pas les maisons neuves: - Leur visage est indifférent. »
« Perdre bientôt la mémoire d'un bienfait est le vice des Français. »
« Cet abbé chemine en priant, - Et seul au milieu de la rue, - Tout noir, il fait sa tache crue - Sur le ciel tendre et souriant. »
« Il faut écouter beaucoup et parler peu our bien agir au gouvernement d'un État. »
« L'azur de tes grands yeux m'est cher; - C'est un lointain que je regarde - Sans cesse et sans y prendre garde, - Un ciel de mer. »
« Pour tromper un rival, l'artifice est permis, - On peut tout employer contre ses ennemis. »
« Les plus nobles conquêtes sont celles des cœurs et des affections. »