« Les vieilles histoires : elles ressemblent à des roses fanées qui s'effeuillent au moindre contact. »
« Celui qui ajoute du vert au printemps, des roses à l'automne, du pourpre à de jeunes lèvres, crée de la laideur parce qu'il ment. »
« Une couronne d'épines, ce n'est qu'une couronne de roses d'où les roses sont tombées. »
« Il y a des gens qui vous laissent tomber un pot de fleurs sur la tête d'un cinquième étage et qui vous disent: Je vous offre des roses. »
« Pas de roses sans épines. »
« O souillures, souillures de la chair! Si elle pouvait fondre - Et se dissoudre et se perdre en vapeurs! »
« Ne voudriez vous pas entrer dans mon jardin? J'aimerais que mes roses vous voient! »
« Un homme peut prouver à sa femme qu'il l'aime en lui offrant une douzaine de roses. Son petit-fils peut faire la même chose, avec une poignée de pissenlits. »
« Je suis un homme mort depuis plusieurs années; - Mes os sont recouverts par les roses fanées. »
« L'homme fut un assemblage d'un peu de boue et d'eau. Pourquoi une femme ne serait-elle pas faite de rosée, de vapeurs terrestres et de rayons de lumière, des débris d'un arc-en-ciel condensés? où est le possible?... Où est l'impossible? »
« Des roses d'automnes, des roses charmantes et tristes... »
« L'Espagne n'est pas un jardin, ni l'Espagnol un jardinier. L'Espagne est une planète où les roses sont des ânes pourris. »
« Je t'adore, Soleil! Tu mets dans l'air des roses, - Des flammes dans la source, un dieu dans le buisson! - Tu prends un arbre obscur et tu l'apothéoses! - O Soleil! toi sans qui les choses - Ne seraient que ce qu'elles sont! »
« Au chemin qui longe la mer - Couché dans le jardin de pierres - Je veux que tranquille il repose - Je l'ai couché dessous les roses - Mon père, mon père. »