« Puisque nous aimer les uns les autres, on n'y arrive pas, pourquoi on n'essaierait pas de nous aimer les autres les uns ? »
« Pourquoi hésiter jamais sur notre devoir, quand il se reconnaît d'emblée à ce signe : le devoir c'est ce qui nous embête. »
« L'euro, c'est ultrasimple, c'est comme quand on voyage à l'étranger, en trois jours, on s'habitue à compter dans la monnaie locale. Sauf que là, on reviendra jamais de vacances. »
« La crainte d'une chute, voilà ce qui suffit à un ministre pour faire égorger des milliers d'hommes. »
« L'homme naturellement ambitieux et orgueilleux ne trouve jamais en lui-même pourquoi un autre lui doit commander, jusqu'à ce que son besoin propre le lui fasse sentir. »
« Jamais les philosophes ne feront une secte de religion. Pourquoi ? C'est qu'il n'écrivent point pour le peuple, et qu'il sont sans enthousiasme. »
« La vraie marque d'une vocation est l'impossibilité d'y forfaire, c'est-à-dire de réussir à autre chose que ce pourquoi l'on a été créé. »
« Ce qu'un homme pense de lui-même, voilà ce qui règle ou plutôt indique son destin. »
« Pourquoi faut-il que le beau cache souvent tant de laideurs ? »
« Un laborieux castor destructif, voilà ce que l'homme est à mes yeux. »
« Un cheval tombe, le cocher aussi. Voilà ce que c'est que de vouloir monter sur le siège ! »
« Je ne vois pas bien pourquoi les hommes qui croient aux électrons se considèrent comme moins crédules que les hommes qui croient aux anges. »
« Puisque vous renierez plus tard pourquoi ne pas renier tout de suite ? »
« Les hommes préfèrent se plaindre du tyran plutôt que de se demander pourquoi ils lui obéissent. »