Jacques Amyot, né à Melun le 30 octobre 1513 et mort à Auxerre le 6 février 1593, est un prélat français et l'un des traducteurs les plus renommés de la Renaissance.
« La rosée attrempe tellement la terre qu'elle en est grasse et fertile. »
« Il y sejourna jusqu'à ce que les affaires les plus embrouillez et plus roublez y fussent un peu appaisez. »
« Il ne fault pas demander si les ambassadeurs se trouverent bien estonnes. »
« Les ouvriers s'efforçoient à l'envy les uns des autres, à surmonter la grandeur de leurs ouvrages par l'excellence de l'artifice. »
« Il ne s'ensuit pas necessairement, si l'ouvrage delecte, que tousjours l'ouvrier en soit à louer. »
« Surprendre les ennemis en desarroy, estans empeschez à faire leur logis et appareillez à soupper. »
« Entasser tout le peuple des champs dedans les murailles d'une ville. »
« Il voulut entremesler le rire parmy leurs convives et autres assemblées, comme une saulse plaisante pour adoulcir le travail et la dureté de leur regle de vivre. »
« La fortune voulut que Pompeius eust encore part à la decision (achèvement) de ceste guerre. »
« La vieillesse, ou bien la grandeur de ses malheurs, luy avoient troublé le sens et hebeté le sentiment de douleur. »
« La Grece jusqu'à ce temps n'avoit pas eu grande conference (rapports) avec les Romains. »
« Ilz venoient à deschirer leurs playes davantage, et consequemment à se perdre et affoler eulx mesmes. »
« Il s'estoit logé sur les cousteaux en lieux forts et avantageux. »
« Notaires, c'est à dire ecrivains qui par notes et lettres abregées figurent toute une sentence. »