« Puisque j'ai rejeté l'épée, il n'est plus rien d'autre que la coupe de l'amour que je puisse offrir à ceux qui se dressent contre moi. »
« Les religions sont comme des routes différentes convergeant vers un même point. Qu'importe que nous empruntions des voies différentes, pourvu que nous arrivions au même but. »
« Le fait de s'incliner n'humilie pas l'agresseur mais l'élève. »
« Si mon enfant était atteint d'une atroce souffrance et qu'il n'existat aucun remède pour alléger sa douleur, je considérerais comme mon devoir de lui donner la mort. »
« Je m'oppose à la violence parce que lorsqu'elle semble produire le bien, le bien qui en résulte n'est que transitoire, tandis que le mal produit est permanent. »
« La fibre la plus coriace doit s'amollir dans le feu de l'amour. Si elle ne fond pas, c'est que le feu n'est pas assez fort. »
« C'est une erreur de croire nécessairement faux ce qu'on ne comprend pas. »
« L'homme est soumis à l'obligation de se laisser guider dans toutes ses actions par des considérations morales. »
« Le jardin de ce monde ne fleurit que pour un temps. »
« Je crois vraiment que là où il y a le choix entre la couardise et la violence, je conseillerais la violence. »
« La force ne vient pas des capacités corporelles; elle provient d'une infaillible volonté. »
« La non-violence est la loi de notre espèce tout comme la violence est la loi de l'animal. »
« Le fatalisme a des limites. Nous devons nous en remettre au sort uniquement lorsque nous avons épuisé tous les remèdes. »
« Personne n'est assez parfait pour avoir le droit de tuer quiconque lui semble trop mauvais pour être sauvé. »