« Ne pleurez pas en public. »
« Homme, n'as-tu jamais goûté de ton sang, quand par hasard tu t'es coupé le doigt ? Comme il est bon, n'est-ce pas. »
« Les crayons c'est pas du bois et de la mine, c'est de la pensée par les phalanges. »
« La main destructive de l'homme n'épargne rien ; il tue pour se nourrir, il tue pour se vêtir, il tue pour attaquer, il tue pour se défendre, il tue pour s'instruire, il tue pour s'amuser, il tue pour tuer ; il a besoin de tout, et rien ne lui résiste. »
« Un chemin se reconnaît au fait que l'autre passant devient notre semblable et qu'il nous paraîtrait inconvenant de ne pas le saluer. »
« Le doute est un hommage rendu à l'espoir. »
« J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice. »
« Le roman est un genre faux, parce qu'il décrit les passions pour elles-mêmes : la conclusion morale est absente. »
« Le meilleur moyen de persuader consiste à ne pas persuader. »
« Parler pour ne rien dire, c'est pour les trois quarts et demi des gens exprimer tout ce qu'ils pensent. »
« Une bonne imitation est une nouvelle invention. »
« Borgne - Être simple et crédule qui voit tout d'un bon oeil. »
« C'est toujours par la faim que commence un bon repas. »
« Voici mon opinion sur la poésie : les vers sont de petites prisons cellulaires où la pensée est coffrée. »