« Le travail est le pain nourricier des grandes nations. »
« La solitude est essentielle à la fraternité. »
« J'ai toujours remarqué que les gens faux sont sobres, et la grande réserve de la table annonce assez souvent des moeurs feintes et des âmes doubles. Un homme franc craint moins ce babil affectueux et ces tendres épanchements qui précèdent l'ivresse... »
« Courroux de frère, courroux de diables d'enfer. »
« La mort du présent n'est rien ; c'est la perte de l'avenir en soi qui est déchirante. »
« Il est trois sortes de gens qui parlent peu, ce sont les savants et les gens forts heureux ou malheureux ; ainsi l'on peut dire que le savoir, la douleur et le bonheur sont muets. »
« Pour s'entendre entre mari et femme, entre collègues, entre amis, avec n'importe qui, entre les peuples, aux conférences de paix, il ne devrait y avoir que ce moyen : le silence. »
« Pourquoi l'argent ne fait pas le bonheur ? Parce qu'il n'achète pas l'amour ! »
« Pourquoi Dieu écoute-t-il quand on lui demande des choses qui plus tard ne feront plus notre affaire ? »
« Le droit est le souverain du monde. »
« Se haïr... Il ne fallait pas être le plus grand savant pour connaître que c'est la pire souffrance de l'homme. »
« On n'est pas uniquement en ce monde pour y accomplir ses tâches quotidiennes, mais aussi pour accorder de la place aux rêveries de l'âme qui l'élèvent et la reposent. »
« Un écrivain n'a vraiment besoin que d'une chambre tranquille, de papier et de soi-même... »
« Vilain enrichi ne connaît ni parent ni ami. »