« Les reines ont été vues pleurant comme de simples femmes. »
« Mon cœur est une penderie dans laquelle tous les costumes de mes personnages sont accrochés. »
« Etre vide, être nul serait tolérable si l'on n'en était pas conscient. »
« Nous avons beau faire, l'amour-propre est toujours le mobile plus ou moins caché de nos actions. »
« Après le malheur de naître, je n'en connais pas de plus grand que celui de donner le jour à un homme. »
« C'est au malheur à juger du malheur. »
« Si l'homme est ingrat, l'humanité est reconnaissante. »
« Tous mes jours sont des adieux. »
« L'éloquence est un fruit des révolutions : elle y croit spontanément et sans culture. »
« Le lecteur de la poésie n'analyse pas, il fait le serment de l'auteur, son proche, de demeurer dans l'intense. »
« On se livre d'autant plus vivement aux plaisirs qu'on se sent près de les perdre. »
« L'homme n'a qu'un mal réel : la crainte de la mort. Délivrez-le de cette crainte et vous le rendrez libre. »
« Les mirages de la passion dans un cœur longtemps pur sont déconcertants. »
« La mort, selon les sauvages, est une grande femme fort belle, à laquelle il ne manque que le cœur. »