« Le drame des dictatures, c'est qu'elles donnent toute licence aux malades mentaux, aux mégalomanes, aux méchants, aux malhonnêtes gens d'aller jusqu'au bout de leur folie, de leur mégalomanie, de leur méchanceté, de leur malhonnêteté. »
« Il ne peut y avoir de totalité de la communication. Or la communication serait la vérité si elle était totale. »
« Votre main droite sait certainement ce que fait votre main gauche, mais elle ne le dit pas. Louons sa discrétion. »
« La fatigue n'est pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit... »
« La dignité passe par le sentiment qu'on a de son utilité. »
« La vie sans farces est comme un voyage sans auberges. »
« Ne demandez pas ce que votre client peut faire pour vous mais ce que vous pouvez faire pour vos clients. »
« Je ne crois que les témoins qui se font tuer. »
« Il faut renverser les monuments pour voir les vers qui grouillent. »
« Le métier de journaliste ressemble assez à celui de couturier : de fil en aiguille, plus on avance sur un sujet, plus il change d'allure. »
« De plus en plus, le vrai sens de la vie nous semble être l'amélioration de la qualité de la vie. »
« Pour comprendre l'avenir d'une société, écoutez les questions que posent maintenant les enfants. »
« La différence entre les jeunes et les vieux, c'est que les vieux ont beaucoup plus de souvenirs et beaucoup moins de mémoire ! »
« Le journal est un objet public, un médium d'information de masse, impersonnel et prêt à jeter. »