« La prière du professeur de ZEP : "Donne-moi aujourd'hui le courage d'y aller. Pardonne à ceux qui vont m'offenser comme je pardonnerai au ministère qui m'a laissée tomber." »
« Une des rares caractéristiques des visages fatigués, c'est que les sourires y restent imprimés une demi-seconde de trop. »
« Quand on se replie sur soi-même, on risque fort de ne plus voir où l'on va. »
« Les pessimistes, ceux qui disent : considérons d'un côté les désavantages, de l'autre les inconvénients. »
« Secrétaire du public, est-ce que ce n'est pas le plus noble aspect du métier de critique ? »
« Il n'y a pas vraiment de littérature sans suggestion, sans sous-entendu. »
« Le préjugé n'est nulle part si flagrant qu'en amour ou en amitié. »
« Un amour sans lettre d'amour ça ne se peut pas... »
« Le cheveu rare, ça donne l'air intellectuel, à défaut d'être intelligent. »
« Sur les billets d'euros, d'un côté il y a une porte, de l'autre, un pont. Ca veut dire : si tu passes pas la porte, t'as plus qu'à te jeter du pont. »
« Il faut se ménager des haltes dans le quotidien pour descendre en soi, ou plutôt pour se hisser à soi. »
« Seuls les mots de trop signifient quelque chose. »
« A étudier la production des autres, on risque toujours plus ou moins de neutraliser son propre génie créateur. »
« On n'a pas trop d'une vie pour se comprendre. Le défaut, c'est de vouloir descendre en profondeur. »