Antoine Albalat, né à Brignoles en 1856 et mort en 1935, était écrivain spécialiste de la littérature française.
« La lecture dissipe la sécheresse, active les facultés, déchrysalide l'intelligence et met en liberté l'imagination. »
« Le don d'écrire, c'est-à-dire la facilité d'exprimer ce que l'on sent, est une faculté aussi naturelle à l'homme que le don de parler. »
« Ne rien livrer au hasard, c'est économiser du travail. »
« ...le travail vaut souvent l'inspiration. »
« La littérature est un agrément, comme la peinture, l'aquarelle et la musique, une distraction noble et permise, un moyen d'embellir les heures de la vie et les ennuis de la solitude. »
« La lecture est la base de l'art d'écrire. »
« Notre imagination a des mirages qui nous trompent. »
« La docilité aux conseils d'autrui prouve la largeur d'esprit, le sens du métier et l'intelligence; car rien ne coûte tant que de sacrifier ce qu'on a écrit et de retrancher ce qu'on croyait bon. »
« L'imagination n'est qu'une mémoire évocatrice. »
« L'éloquence n'est pas dans la quantité des choses dites, mais dans leur intensité. »
« Savoir voir est le grand mot de l'écriture littéraire ; et savoir comment il faut voir, c'est presque savoir comment il faut exprimer. »
« Les désespérés sont les plus difficiles à supporter : c'est leur façon de se soulager. »
« La docilité aux conseils d'autrui prouve la largeur d'esprit, le sens du métier et l'intelligence ; car rien ne coûte tant que de sacrifier ce qu'on a écrit et de retrancher ce qu'on croyait. »
« ...l'homme qui ne lit pas est incapable de connaître ses forces, et ignorera toujours ce qu'il peut produire. »