Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 (à 66 ans) à Ermenonville, est un écrivain, philosophe et musicien genevois francophone.
« Tout est bien sortant des mains de la nature. »
« Pour être quelque chose, pour être soi-même et toujours un, il faut agir comme on parle : il faut être toujours décidé sur le parti qu'on doit prendre, le prendre hautement et le suivre toujours. »
« Tout est dans un flux continuel sur la terre. Rien n'y garde une forme constante et arrêtée, et nos affections qui s'attachent aux choses extérieures passent et changent nécessairement comme elles. »
« L'impulsion du seul appétit est esclavage, et l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. »
« Nos passions sont les principaux instruments de notre conservation : c'est donc une entreprise aussi vaine que ridicule de vouloir les détruire. »
« Il ne faut point refuser pour refuser, mais pour faire valoir ce qu'on accorde. »
« Les têtes se forment sur les langages, les pensées prennent la teinte des idiomes, l'esprit, en chaque langue, a sa forme particulière. »
« Combien de vertus apparentes cachent souvent des vices réels ! Le sage est sobre par tempérance, le fourbe l'est par fausseté. »
« Une des preuves que le goût de la viande n'est pas naturel à l'homme est l'indifférence que les enfants ont pour ce mets-là et la préférence qu'ils donnent tous à des nourritures végétales, telles que le laitage, la pâtisserie, les fruits, etc. »
« L'état de réflexion est un état contre nature et que l'homme qui médite est un animal dépravé... »
« Il est contre l'ordre naturel que le grand nombre gouverne et que le petit soit gouverné. »
« Tous nos soins à bien traiter et nourrir ces animaux n'aboutissent qu'à les abâtardir. »
« Si l'on pouvait prolonger le bonheur de l'amour dans le mariage, on aurait le paradis sur la terre. »
« Vous ne parviendrez jamais à faire des sages si vous ne faites d'abord des polissons. »