« "Les femmes sont dépensières" c'est ce qu'on dit quand une femme s'achète un maillot de bain. Un homme qui s'achète une Porsche assouvit une passion, faut pas confondre ! »
« Les morceaux choisis, c'est toujours les morceaux choisis par un autre. »
« Le bonheur est un oiseau qui se pose sur la paume de la main, pour le garder il ne faut pas essayer de le saisir. »
« Les liens invisibles laissent les marques les plus profondes. »
« Les vérités historiques sont rarement bonnes à entendre lorsqu'elles ébranlent les fondements de la mémoire collective. »
« La poésie est à la fois une cachette et un haut-parleur. »
« Dès qu'on parle une langue étrangère, les expressions du visage, des mains, le langage du corps changent. On est déjà quelqu'un d'autre. »
« Les querelles idéologiques sont quelquefois moins sérieuses que les luttes d'intérêt. »
« Rien ne dure toujours, nous sommes voués à la nouveauté. »
« Quand on est bien dans sa peau, voyager, c'est être ailleurs, ce n'est plus être loin. »
« Le temps n'est qu'une machine qui broie dans ses rouages l'amour, jusqu'à ce qu'il ne forme plus qu'un tas de poussière, que l'on balaie sous les tapis de la mémoire. »
« Savoir vivre avec son concubin c'est avoir le goût du risque et respecter le difficile engagement de n'exiger aucun engagement. »
« La création n'avait d'autre utilité, d'autre vocation que de dire la liberté intime, profonde, de l'être humain, par-delà tout ce qui tend à la réduire, à la détruire même. »
« Mon cœur, mon tout, ma lumière, - Vivons ensemble, vivons, - Et suivons - Les doux sentiers de la jeunesse. »