« Quand on s'aime pour plus d'une raison, c'est qu'on ne s'aime pas vraiment. »
« Devenir adulte, c'est aussi se rendre à l'évidence, lâcher ses rêves d'enfant pour se laisser menotter par la réalité. »
« A la mélancolie d'une dernière représentation s'ajoute la tristesse que l'on ne pourra pas, demain, être meilleur. »
« On nous dit qu'il ne faut pas dormir avec la femme de ses amis. Bon. Mais alors... Avec qui ? »
« En dehors du français, il y a une seule langue nationale que la Constitution tolère : la langue de bois ! »
« Je suis en train de peindre avec l'entrain d'un Marseillais mangeant la bouillabaisse, ce qui ne t'étonnera pas lorsqu'il s'agit de peindre de grands tournesols. »
« A force de lire, j'ai des livres de poche sous les yeux ! »
« Cette vie artistique, que nous savons ne pas être la vraie, me paraît si vivante et ce serait ingrat que de ne pas s'en contenter. »
« Si votre fils n'a pas d'enfant, il scie la branche de l'arbre généalogique sur laquelle vous l'avez assis. »
« Réaliser des esquisses revient à planter des graines pour faire pousser des tableaux. »
« Quand on n'a pas l'habitude de voyager on pense toujours qu'ailleurs c'est la fantaisie qui prime. »
« Investissez Dieu dans vos affaires et vous allez voir votre potentiel atteindre son maximum dans notre société divinement capitaliste. »
« J'ai compris que, même pauvre et nécessiteux aux regards du monde, on peut s'enrichir en Dieu et que ce trésor-là, nul ne peut vous l'enlever. »
« Avant, l'argent coulait à flot, maintenant j'éponge mes dettes. »