« Le mort ni le prisonnier n'a plus ni ami ni parent. »
« A vaillans cuers, riens impossible. »
« Es-tu triste ? Cherche autour de toi un service à rendre, une peine à consoler... »
« Le bonheur est éphémère, il passe sans s'arrêter, il s'attarde parfois, l'espace d'une illusion, mais rares sont ceux qui savent le retenir, le garder. Il est si fragile, si vulnérable, il suffit de trois fois rien pour l'effrayer, le voir fuir à jamais. »
« Il ne peut y avoir de totalité de la communication. Or la communication serait la vérité si elle était totale. »
« La vie étant un éternel recommencement, seule l'acceptation de la défaite signifie la fin de tout. Tant et aussi longtemps que l'on sait recommencer, rien n'est totalement perdu. »
« Il faut renverser les monuments pour voir les vers qui grouillent. »
« On verra bientôt que d'oser vivre, ce n'est pas la fin du monde. Juste d'un monde. »
« Vivre coûte beaucoup, mourir également.Faire front exige de la dignité. »
« Le métier de journaliste ressemble assez à celui de couturier : de fil en aiguille, plus on avance sur un sujet, plus il change d'allure. »
« J'ai vu cette nuit la comète: sa queue est d'une fort belle longueur; j'y mets une partie de mes espérances. »
« La tâche des vrais démocrates est de voir à ce que le peuple soit de plus en plus au courant, instruit, renseigné sur ses propres intérêts. »
« L'inégalité, c'est le risque permanent du mépris. »
« La différence entre les jeunes et les vieux, c'est que les vieux ont beaucoup plus de souvenirs et beaucoup moins de mémoire ! »