« On ne connaît que les choses qu'on apprivoise. »
« Les hommes qu'on ne connaît qu'à moitié, on ne les connaît pas ; les choses qu'on ne sait qu'aux trois quarts, on ne les sait pas du tout. Ces deux réflexions suffisent pour faire apprécier presque tous les discours qui se tiennent dans le monde. »
« Connaître une chose et en vivre une autre est une erreur, un contresens. A partir de là, une tension apparaît. Elle est due au conflit de la pensée et du sentiment. Connaître, c'est être. »
« Dans l'opinion qu'il y ait un Dieu il peut se trouver des difficultés, mais dans l'opinion contraire il y a des absurdités. Aussi reconnaître qu'il y ait une Dieu est la chose la plus vraisemblable que les hommes puissent penser. »
« La chance? Je n'y connais rien. Je n'ai jamais compté dessus, et j'ai peur des gens qui le font. Pour moi, la chance, c'est quelque chose d'autre: travailler dur et reconnaître ce qui est une opportunité et ce qui n'en est pas une. »
« Il ne faut rien regretter, car n'est-ce pas reconnaître qu'il y a au monde quelque chose de bon ? »
« La définition fait connaître ce qu'est la chose. »
« Trois choses ne se connaissent qu'en trois occasions. On ne connaît la valeur qu'à la guerre, le sage que dans sa colère et l'ami que dans la nécessité. »
« Connaître, c'est comprendre toute chose au mieux de nos intérêts. »
« Les choses dont on parle le plus parmi les hommes sont assez ordinairement celles qu'on connaît le moins. »
« La sagesse des siècles nous apprend qu'il suffit d'approfondir une chose pour en connaître plusieurs autres. »
« Si tu fais le bien à cinq cents hommes et qu'un seul d'entre eux le reconnaît, ce n'est pas chose perdue. »
« En ultime analyse, toute chose n'est connue que parce que l'on veut croire la connaître. »
« Tous, nous sommes portés par un penchant irrésistible à désirer connaître la science, en laquelle nous estimons qu'exceller est une belle chose. »