« En vieillissant, on apprend à troquer ses terreurs contre ses ricanements. »
« Objection contre la science : ce monde ne mérite pas d'être connu. »
« Le temps vole et m'emporte malgré moi ; j'ai beau vouloir le retenir, c'est lui qui m'entraîne. »
« La conscience est bien plus que l'écharde, elle est le poignard dans la chair. »
« La vie est courte ; c'est la consolation des misérables et la douleur des gens heureux ; et tout viendra au même but. »
« Ne lui demandez pas de se connaître, vous savez bien qu'une femme ne voit jamais les défauts de ceux qu'elle aime. »
« Les opinions des femmes ne sont que la suite de leurs sentiments. »
« Tout commentaire d'une oeuvre est mauvais ou inutile, car tout ce qui n'est pas discret est nul. »
« Nous faisons quelquefois des conversations d'une tristesse qu'il semble qu'il n'y ait plus qu'à nous enterrer. »
« La confession la plus vraie est celle que nous faisons indirectement, en parlant des autres. »
« Le travail : une malédiction que l'homme a transformée en volupté. »
« Plus les hommes s'éloignent de Dieu, plus ils avancent dans la connaissance des religions. »
« Il n'est guère qu'un signe qui atteste qu'on a tout compris : pleurer sans sujet. »
« La solitude est l'aphrodisiaque de l'esprit, comme la conversation celui de l'intelligence. »