« La nécessité de choisir une seule route, parmi celles qui se présentent à nous, nous prive de voir les pays auxquels les autres routes nous auraient conduits. »
« Les Arabes, ce n'est rien. Jamais on n'a vu des Arabes construire des routes, des barrages, des usines. Après tout, peut-être n'ont-ils pas besoin de routes, de barrages, d'usines... »
« J'ai de la nostalgie d'une de ces vieilles routes sinueuses et inhabitées qui mènent hors des villes... Une route qui conduise aux conffins de la terre... Où l'esprit est libre... »
« Les siècles devant eux poussent, désespérées,Les révolutions, monstrueuses marées,Océans faits des pleurs de tout le genre humain. »
« Demain nous prendrons les routes de la vaste mer. »
« Si Marivaux, comme l'a très bien dit un écrivain célèbre, connaissait tous les sentiers du cœur, il en ignorait les grandes routes. »
« Ah! cher amour, chère passion qui m'emporte, les routes sont grandes ouvertes où fleurissent les baisers qui orneront nos tombes. J'ai voyagé sur ton souffle jusqu'aux lointains de l'amour. »
« Les routes, elles appartiennent beaucoup plus à ceux qui habitent au bord qu'à ceux qui roulent dessus ! »
« C'est un type qui avait en fait pour son fils, et aussi parfois pour ses amis, des océans de tendresse. »
« Le génie, comme un fort cheval, traîne à son cul l'humanité sur les routes de l'idée. »
« Quelque part dans mon passé, deux routes se sont présentées à moi. J'ai pris celle qui était la moins fréquentée. Et c'est ce qui a fait toute la différence. »
« Les routes qui ne disent pas le pays de leur destination, sont les routes aimées. »
« Que de routes prend et que de raisons se donne le cœur pour en arriver à ce qu'il veut! »
« Les routes qui ne promettent pas le pays de leur destination sont les routes aimées. »