« Un hôpital devrait toujours avoir une salle de réanimation juste à côté du bureau du caissier. »
« Les risques du métier : son menton a soudainement quitté la paume de sa main droite posée grâce à un coude et sa tête est venue frapper lourdement le bureau. Une fois encore, un fonctionnaire s'est tué au travail. »
« L'hystérie, c'est lorsque le sexe prend la place du cerveau pour commander la vie. »
« La vieillesse est une langue étrangère qu'il faut apprendre à un âge où le cerveau n'est plus guère disposé à acquérir de nouvelles connaissances. »
« Au travail, le plus difficile, c'est d'allumer la petite lampe du cerveau. Après, ça brûle tout seul. »
« L'homme commence par être un tube digestif, ensuite un sexe, parfois un cerveau. »
« Aimer, oui. Mais pas le genre d'amour-toujours avec cadenas autour du vagin et court-circuit dans le cerveau. »
« Si je soulève des haltères, je me muscle les biceps, mais si je pense que je les soulève, je me muscle le cerveau. »
« La plus grave maladie du cerveau c'est de réfléchir. »
« La conscience, [...] Chose sombre que cet infini que tout homme porte en soi et auquel il mesure avec désespoir les volontés de son cerveau et les actions de sa vie ! »
« Dans la balance de la destinée, le muscle ne pèse jamais autant que le cerveau. »
« Le bureau n'a jamais cessé de me plaire pour la simple raison que je ne le vois pas. Il me permet d'exister. »
« On prétend que l'ambition exclut l'amour. Les deux peuvent cohabiter, l'une se logeant au cerveau, l'autre au cœur. »
« Si l'on veut vivre d'une vie humaine extérieure et retentissante, il ne faut ouvrir que quelques fenêtres de son cerveau, et laisser fermées les autres. »