« L'accouchement est douloureux. Heureusement, la femme tient la main de l'homme. Ainsi, il souffre moins. »
« Le sens de l'émerveillement est un gage de bonheur car la vie, pour peu qu'on sache lui forcer la main, ne refuse jamais à l'homme les occasions de s'émerveiller. »
« Pour l'homme courageux, chance et malchance sont comme sa main droite et sa main gauche. Il tire parti de l'une comme de l'autre. »
« C'est la main de l'homme... Et la main de l'homme est douce à la femme. »
« Je suis en faveur de la coutume qui veut qu'un homme baise la main d'une femme la première fois qu'il la voit. Il faut bien commencer par un endroit quelconque. »
« L'incognito est mort, tué par les photographes de presse. L'être visé dépossédé de son secret, avoue à des millions d'exemplaires par sa pauvre figure qu'il cache en vain de la main. L'homme de demain aura-t-il droit à tout sauf à l'ombre ? »
« Pour deviner la nationalité d'un homme, il suffit de le présenter à une jolie femme. S'il lui serre la main, c'est un Anglais ; s'il la lui baise, un Français ; s'il lui demande rendez-vous, un Américain ; s'il câble à Moscou pour instructions, un Russe. »
« Un mur où on a mis la main soi-même nous en apprend plus long sur la liberté de l'homme que tous les philosophes. »
« L'homme est puissant, il domine le ciel et la terre, dit-on, mais il est une force plus grande encore car la main qui réellement gouverne le monde est celle qui berce l'enfant. »
« La nature est habile ; quand l'homme lui donne un coup de main, quel chef-d'oeuvre va se créer ! »
« La main destructive de l'homme n'épargne rien ; il tue pour se nourrir, il tue pour se vêtir, il tue pour attaquer, il tue pour se défendre, il tue pour s'instruire, il tue pour s'amuser, il tue pour tuer ; il a besoin de tout, et rien ne lui résiste. »
« Il n'est pas plus difficile à un gros homme d'avoir de pensées délicates qu'à une grosse main d'avoir une fine écriture. »
« A chaque sépulture, il y a un homme qui reçoit le fardeau de la main de l'homme qui va se reposer. »
« L'épée ne s'arrête pas juste à la limite du droit ; il est de sa nature de rentrer malaisément dans le fourreau quand elle s'est une fois échauffée dans la main de l'homme. »