« Je meurs en adorant dieu, en aimant mes amis, en ne détestant pas mes ennemis, en haissant la superstition. »
« Il n'y a rien de mieux qu'un roman, pour faire comprendre que la réalité est mal faite, qu'elle n'est pas suffisante pour satisfaire les désirs, les appétits, les rêves humains. »
« Ce matin en me rasant j'ai pensé à toi et je me suis coupé. Les femmes sont dangereuses. »
« Je hais les railleurs malsains, les petits jeunes gens qui ricanent, ne pouvant imiter la pesante gravité de leurs papas. »
« Lorsque nous passons le temps en faisant de la musique quelque chose dans le temps cesse de passer. »
« Le problème n'est pas de se tromper mais de persévérer dans l'erreur en la reconduisant, une fois qu'on a pu tirer les leçons de l'Histoire. »
« La télévision est par nature une fenêtre déformante ; en laissant voir les événements qui agitent le monde, elle ne fait que rapporter une vérité, celle qu'elle croît être la plus proche de la vérité. »
« La santé se mesure à l'amour du matin et du printemps. »
« Rien, aucune créature au monde n'est plus ridicule, et déplaisante, qu'une fille amoureuse. »
« Les neuf dixièmes de notre bonheur reposent sur la santé. Avec elle, tout devient source de plaisir. »
« Si nous vivons, nous vivons pour marcher sur la tête des puissants... Car les puissants ne travaillent qu'à marcher sur nos vies. »
« Depuis le premier jour, l'Eglise a pris et gardé la femme, comme l'aide la plus puissante de son oeuvre de propagande et d'asservissement. »
« La santé est un état précaire qui ne laisse présager rien de bon. »
« On finit toujours par partir en embrassant la mauvaise personne. »