« Baiser. Dire embrasser, plus décent. Doux larcin. Le baiser se dépose sur le front d'une jeune fille, la joue d'une maman, la main d'une jolie femme, le cou d'un enfant, les lèvres d'une maîtresse. »
« Le malheur est le meilleur moyen que Dieu ait trouvé pour reprendre la générosité aux âmes bonnes, l'éclat aux belles, la pitié aux sensibles. »
« Aucun poète n'a jamais interprété la nature aussi librement qu'un avocat interprète la réalité. »
« Quand on a découvert qu'un ami est menteur, de lui tout sonne faux alors, même ses vérités. »
« Le sport consiste à déléguer au corps quelques-unes des vertus les plus fortes de l'âme. »
« Il n'y a jamais eu de créature. Il n'y a jamais eu que le couple. Dieu n'a pas créé l'homme et la femme l'un après l'autre. Il a créé deux corps jumeaux, unis par des lanières de chair qu'il a tranchées depuis, le jour où il a créé la tendresse. »
« Le sport est l'espéranto des races. »
« A se dire tous ces petits riens qui ne valent pas la peine d'être dits, mais qui valent la peine d'être entendus. »
« Une vie sportive est une vie héroïque à vide. »
« La vie est un cadeau si merveilleux que tout être généreux ne peut avoir qu'une ambition, l'offrir. »
« Les êtres ne se dérangent dans la vie que pour vous apporter des leçons, des signes ou des devoirs. »
« Le bonheur n'a jamais été le lot de ceux qui s'acharnent. »
« Faites défiler les vieillards d'un pays, et vous connaîtrez l'état de ses sports. »
« Je suis jolie et il est laid. Je suis jeune et il est vieux. J'ai de l'esprit et il est bête. J'ai une âme et il n'en a pas. Et c'est lui qui a tout. En tout cas il m'a. Et c'est moi qui n'ai rien. En tout cas, je l'ai. »