« C'est effrayant de vivre avec des gens qui vous connaissent. Ils vous empêchent de changer en ne s'apercevant pas que vous êtes un autre. »
« Le bonheur et le malheur sont toujours relatifs à quelque situation antécédente dont on conserve le souvenir. »
« Fils du savoir, le péché est le père du savoir. »
« Amis ou ennemis, il est toujours bon de bien connaître ceux qu'on aime, et meilleur encore de mieux connaître ceux qu'on aime moins. »
« Les enfants sont des entraves quand ils sont jeunes. Plus tard, ils nous quittent. »
« C'est par l'attention que l'esprit parvient à se former des notions vraies des choses. »
« La connaissance est le dernier recours de la nostalgie. »
« La passion ne peut déboucher sur le malheur ou le bonheur ; elle est sa propre fin. »
« Le principe de tous les maux pour l'homme, de la bassesse, de la lâcheté, ce n'est pas la mort, mais plutôt la crainte de la mort. »
« Il n'est plus de désert puisque tout est en nous. »
« C'est peu de chose qu'un homme et le meilleur se dégoûte de lui-même quand il se mesure à l'aune de la vérité. »
« Nées d'une expérience humaine, les idées meurent quand on les en sépare. »
« L'essence de la philosophie est qu'un homme devrait vivre de manière à ce que son bonheur dépende aussi peu que possible de causes extérieures. »
« Ce n'est pas par la satisfaction du désir que s'obtient la liberté, mais par la destruction du désir. »