« La politique et la stratégie de la guerre ne sont qu'une perpétuelle concurrence entre le bon sens et l'erreur. »
« La démocratie, c'est le gouvernement du peuple exerçant la souveraineté sans entrave. »
« Les gaulois n'ont pas changé. Leurs chefs détestent obéir. Mais ils adorent discuter. »
« Ce qu'il faut surtout pour la paix, c'est la compréhension des peuples. Les régimes, nous savons ce que c'est : des choses qui passent. Mais les peuples ne passent pas. »
« Le succès de l'épreuve de la guerre, comme le bonheur dans la vie, n'existe que par comparaison. »
« Il n'y a de réussite qu'à partir de la vérité. »
« La politique, quand elle est un art et un service, non point une exploitation, c'est une action pour un idéal à travers des réalités. »
« Le caractère, c'est d'abord de négliger d'être outragé ou abandonné par les siens. »
« Je parle. Il le faut bien. L'action met les ardeurs en oeuvre. Mais c'est la parole qui les suscite. »
« En notre temps, la seule querelle qui vaille est celle de l'homme. C'est l'homme qu'il s'agit de sauver, de faire vivre et de développer. »
« Je ne vais pas mal. Mais rassurez-vous, un jour, je ne manquerai pas de mourir. »
« On ne devrait plus accepter de responsabilités suprêmes au-delà de soixante ans. »
« Les choses capitales qui ont été dites à l'humanité ont toujours été des choses simples. »
« Il vaut mieux avoir une méthode mauvaise plutôt que de n'en avoir aucune. »