« Lorsque vous travaillez pour les autres, faites-le avec autant d'ardeur que si c'était pour vous-même. »
« C'est par sa mort parfois qu'un homme montre qu'il était digne de vivre. »
« L'Amérique lui avait enseigné qu'il est naturel et facile d'agir, alors que le continent d'où il était arrivé privilégiait l'acte de compréhension. »
« Ce qui a perdu Napoléon, c'est l'ambition. S'il était resté simple officier d'artillerie, il serait encore sur le »
« La fidélité, c'est une idée creuse, une vanité aveugle, comme si on tenait quelque chose, comme si on se croyait immortel, comme on l'était. »
« Il y aurait aussi du dopage dans le rugby : avant les perfusions, le ballon était rond. »
« Le calme qui évoque la paix dans la nature, fait toujours présager, dans l'entourage des humains, quelque sinistre catastrophe, comme si leur état normal était l'agitation, le bruit et la fureur. »
« S'attendre au pire, à quelque chose de pis que la chute, tout en chutant, c'était un peu la conception que j'avais de la vie. »
« Tout progrès est basé sur le désir, universel et inné chez tout organisme, de vivre en dépensant plus que son revenu. »
« Si l'administration militaire était bien faite, il n'y aurait pas de soldat inconnu. »
« Les hommes trébuchent parfois sur la vérité, mais la plupart se redressent et passent vite leur chemin comme si rien ne leur était arrivé. »
« L'homme est l'orgueil du cèdre emplissant le roseau. »
« Les temps changent. Autrefois, c'était l'homme qui décidait. Il donnait la vie, la femme était comme un frigidaire. Enfin, un frigidaire chaud ! Dont l'homme tirait la poignée ! »
« Avez-vous remarqué que, lorsqu'on fait rétablir une conversation téléphonique coupée, on s'aperçoit qu'on s'était tout dit. »