« A la tête de l'auteur, le téléspectateur ne juge pas le livre, mais de son intérêt à l'acheter et à le lire. »
« La télévision de la connaissance sera bientôt le privilège des riches et l'instrument privilégié des inégalités. »
« Un poète ne vit guère que de sensations, aspire aux idées et, en fin de compte, n'exprime que des sentiments. »
« J'adore la télévision. En fermant les yeux, c'est presque aussi bien que la radio. »
« Le Style et la Structure sont l'essence d'un livre. Les grandes idées ne sont que foutaises. »
« Le problème n'est pas de savoir s'il faut ou s'il ne faut pas parler des banlieues à la télévision, mais comment. »
« La publicité tombe trop souvent dans les mêmes travers que la politique ; en étant obsédée par les attentes du public, elle lui livre un discours insipide et sans relief. »
« Un livre meurt quand le lecteur n'a pas à l'inventer à mesure qu'il le lit. »
« Mieux vaudrait apprendre à faire l'amour correctement que de s'abrutir sur un livre d'histoire. »
« Un livre est une bouteille jetée en pleine mer sur laquelle il faut coller cette étiquette : attrape qui peut. »
« Depuis que nous avons la télévision à la maison, nous prenons nos repas tous du même côté de la table, comme dans la Cène de Léonard de Vinci. »
« Un mauvais livre, c'est encore plus fort qu'une bonne pièce de théâtre. »
« Le plaisir auquel on s'est livré sans défense et sans retour devient le plus inexorable des ennemis. »
« Chaque livre d'histoire en se fermant fait le même bruit : "abrutis". »