« C'est une règle éternelle de morale et de politique qu'il ne faut jamais pousser son ennemi jusqu'au désespoir. »
« Ne pleurez pas en public. »
« Les crayons c'est pas du bois et de la mine, c'est de la pensée par les phalanges. »
« Homme, n'as-tu jamais goûté de ton sang, quand par hasard tu t'es coupé le doigt ? Comme il est bon, n'est-ce pas. »
« La main destructive de l'homme n'épargne rien ; il tue pour se nourrir, il tue pour se vêtir, il tue pour attaquer, il tue pour se défendre, il tue pour s'instruire, il tue pour s'amuser, il tue pour tuer ; il a besoin de tout, et rien ne lui résiste. »
« Le doute est un hommage rendu à l'espoir. »
« J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice. »
« Le roman est un genre faux, parce qu'il décrit les passions pour elles-mêmes : la conclusion morale est absente. »
« Le meilleur moyen de persuader consiste à ne pas persuader. »
« On devient vieux à partir du moment où on ne comprend plus les jeunes. »
« Ce ne sont point les hommes qui mènent la révolution, c'est la révolution qui emploie les hommes. »
« Le plus grand ridicule pour une femme, c'est d'être un homme. »
« La générosité jouit des félicités d'autrui, comme si elle en était responsable. »
« L'Histoire est une conspiration permanente contre la vérité. »