« Le drame des dictatures, c'est qu'elles donnent toute licence aux malades mentaux, aux mégalomanes, aux méchants, aux malhonnêtes gens d'aller jusqu'au bout de leur folie, de leur mégalomanie, de leur méchanceté, de leur malhonnêteté. »
« La vérité vit à crédit. Nos pensées et nos croyances passent comme monnaie ayant cours tant que rien ne les fait refuser, exactement comme les billets de banque, tant que personne ne les refuse. »
« L'autorité doit aller de pair avec la responsabilité. »
« La raison pour laquelle les mouches peuvent voler et nous pas, c'est tout simplement qu'elles ont une foi parfaite, car avoir la foi, c'est avoir des ailes. »
« Il n'y a pas d'homme plus malheureux que celui chez qui l'indécision est une habitude. »
« Dans la vie de l'esprit comme dans la vie pratique, celui dont les connaissances tiennent progresse toujours et réussit. Celui, au contraire, piétine qui perd son temps à réapprendre ce qu'il a oublié. »
« L'histoire est un cauchemar dont je cherche à m'éveiller. »
« Le sentimental est celui qui voudrait le profit sans assumer la dette accablante de la reconnaissance. »
« L'habitude est l'énorme poulie de la société, son agent conservateur le plus précieux. »
« La femme est souvent le point faible du mari. »
« Les erreurs sont les portes de la découverte. »
« Le génie, en définitive, n'est guère plus que la faculté de percevoir sur un mode inhabituel. »
« C'est décourageant le sable. Rien n'y pousse. Tout s'y efface. »
« La barrière la plus immuable de la nature se situe entre les pensées d'un homme et celle d'un autre. »