« On ne choisit pas les circonstances où l'on est placé, mais on choisit la manière de les accepter. »
« Le sexe, c'est toujours une relation de pouvoir, qu'on le veuille ou non. Il faut une lutte, une domination de l'un sur l'autre ! Sinon, ça ne marche pas. »
« En fin de compte tout est littérature. La vie, l'amour, la mort. Simulacre et dérision. »
« Par-delà le vide, le rien, l'homme perçoit la réalité. Il la saisit un instant, puis la perd à jamais, car elle échappe à l'homme. »
« Un homme réussit mieux sa vie auprès d'une femme qui le seconde. »
« Le sablier de la vie coule doucement en amont, se transforme en rapides à l'aval du temps. »
« Il n'y a pas d'homme en général, mais des hommes particuliers. »
« On meurt seul. On vit seul. On rêve à une vie partagée. Le rêve est bon à cela. Lui seul. »
« Chrétienne ou païenne, sainte ou truande, Piaf s'amuse: elle a transformé son adultère en famille nombreuse. »
« Le désespoir, un vocable creux inventé par les gens qui ne regardent jamais les étoiles. »
« Toutes les femmes libérées finissent quand même par vous parler de leurs rideaux et des couches de leur petit ange, un jour ou l'autre. »
« La ville est un lieu privilégié du recouvrement de l'invisibilité de l'essentiel. »
« Vie de famille ou de bureau, on se hait mais on ne se quitte pas. »
« Peut-être sommes-nous encore moins capables de rencontrer des hommes que lorsque nous rêvions du prince charmant. »