« Pourvu que l'on ait une auge, on trouvera les cochons. »
« Il suffit d'un lexique pour contenir tous les mots. Mais à la pensée, il faut l'infini. »
« Les lettres anonymes ont le grand avantage qu'on n'est pas forcé d'y répondre. »
« On ne vit pas de ce que l'on mange, mais de ce que l'on digère. »
« Dieu est le dernier recours, et le malheureux, qui devait commencer par lui, n'arrive à lui cependant qu'après avoir épuisé toutes autres espérances. »
« Le cœur n'a-t-il pas ses raisons qui se moquent de la raison ? »
« Qui dit que je suis fou, ne l'a jamais été d'amour. »
« Nous nous attachons quelquefois plus à une femme par les infidélités que nous lui faisons que par la fidélité qu'elle nous garde. »
« Rajeunissement. Tous les esthéticiens le conseillent. Ils ont raison. C'est le vrai secret de la fraîcheur. »
« L'ordre social n'est qu'une pantomime, un théâtre hasardeux, et que la position de chacun n'est qu'affaire de distribution. »
« Les statues ne font que nommer l'oubli. On n'est jamais plus mort qu'en bronze. »
« Il faut que la société se mette à aider l'école plutôt que de lui demander de la réparer. »
« Manger de l'ail. Ca rajeunit l'organisme et ça éloigne les importuns. »
« Amour. A proscrire complètement. Il ne va jamais sans émotions. Les émotions nuisent à la régularité. »