« La plupart des voyages trouvent leur intéret dans l'anticipation qu'on en fait ou le souvenir qu'on en garde ; la réalité se limite le plus souvent à la perte de ses bagages. »
« C'est pas parce qu'on y voit double qu'à la fin on y voit mieux. »
« Chercher à connaître n'est souvent qu'apprendre à douter. »
« Un rêve transformé en réalité, c'est un autre rêve. »
« Pour être sage, une heureuse ignorance - Vaut souvent mieux qu'une faible vertu. »
« Le bonheur est éphémère, il passe sans s'arrêter, il s'attarde parfois, l'espace d'une illusion, mais rares sont ceux qui savent le retenir, le garder. Il est si fragile, si vulnérable, il suffit de trois fois rien pour l'effrayer, le voir fuir à jamais. »
« Les rats nous observent dans l'ombre de leurs égouts. Ils se lissent les moustaches de joie car ils n'ignorent pas que notre civilisation fermera bientôt son guichet. »
« La vie étant un éternel recommencement, seule l'acceptation de la défaite signifie la fin de tout. Tant et aussi longtemps que l'on sait recommencer, rien n'est totalement perdu. »
« Le nombre des différences, soit physiques, soit morales, qui se remarquent entre l'homme et les animaux mamellés, est beaucoup plus grand que la somme de leurs ressemblances. »
« Ne demandez pas ce que votre client peut faire pour vous mais ce que vous pouvez faire pour vos clients. »
« Je suspecte la mort d'être infiniment plus fidèle qu'une chienne, qu'une brosse à dents ou qu'une femme. »
« La communication est une science difficile. Ce n'est pas une science exacte. Ca s'apprend et ça se cultive. »
« Les chevaux barbas ou de Barbarie diffèrent des arabes non par la taille, qui est à peu près la même, mais par la croupe, qui est un peu plus longue... On distingue facilement un cheval anglais d'un barba par les oreilles, qui sont plus longues. »
« Lorsqu'elle joue ou qu'on la caresse (la marmotte), elle a la voix ou le murmure d'un petit chien ou le ragoulement d'un chat. »