« Plus on aime, plus on souffre. La somme des douleurs possibles pour chaque âme est proportionnelle à son degré de »
« Qu'on écrive un roman ou un scénario, on organise des rencontres, on vit avec des personnages ; c'est le même plaisir, le même travail, on intensifie la vie. »
« C'est la main de l'homme... Et la main de l'homme est douce à la femme. »
« Je fais des films pour réaliser mes rêves d'adolescent, pour me faire du bien et, si possible, faire du bien aux autres. »
« Un paysage quelconque est un état de l'âme. »
« La photo fait du bruit, une déflagration dont l'écho se prolonge, et invente paradoxalement l'invisible silence des fêtes, des jeux, des pièces et des jardins. »
« Les femmes sont magiques... Alors je suis devenu magicien. »
« Le mariage doit être une éducation mutuelle et infinie. »
« Oui, l'amour fait mal : comme les grands oiseaux rapaces, il plane au-dessus de nous, il s'immobilise et nous menace. »
« Ce qui est révoltant dans la guerre, c'est qu'elle prive l'homme de son combat individuel. »
« Si nationalité, c'est contentement. État, c'est contrainte. »
« Le dégoût est une chose curieuse. Il fait prendre en grippe jusqu'à la raison et au bon sens, par antipathie pour la vulgarité. »
« La femme nue est belle une fois sur vingt, et trois ans sur soixante et dix. C'est-à-dire qu'il y a quatre cent soixante-dix à parier contre un qu'en photographiant une femme sans voile on fait une indécence, sans arriver à un effet esthétique. »
« Tu es belle, si belle que te regarder est une souffrance. »