« Le travail humain ! c'est l'explosion qui éclaire mon abîme de temps en temps. »
« Paris est la ville où les caniveaux sont les plus propres du monde parce que les chiens les respectent. »
« Il arrive qu'un déjeuner de travail se transforme en véritable déjeuner de travail. »
« Quand on veut vivre parmi les hommes, il faut laisser chacun exister et l'accepter avec l'individualité, quelle quelle soit, qui lui a été départie. »
« Se laisser aller à l'imagination aide à perdre la notion du temps. »
« Un travail constant vient à bout de tout. »
« Nous sommes un peu comme des éponges qui aspirons la vie sans le savoir et qui la rendons ensuite, transformée, sans connaître le travail d'alchimie qui s'est produit en nous. »
« Il est également absurde de vivre en perdant de vue le paramètre absolue de la mort que de laisser la pensée de la mort prochaine gâcher mon existence. »
« Le paradis des hommes ? Trois télécommandes et un siège de toilettes toujours relevé. »
« Ce qui compte c'est se libérer soi-même, découvrir ses propres dimensions, refuser les entraves. »
« Un auteur est peu propre à corriger les feuilles de ses propres ouvrages : il lit toujours comme il a écrit et non comme il est imprimé. »
« Les diseurs de maximes, non plus que les marchands de "spécialités", ne se soignent à leur propres remèdes. »
« Il y a une certaine volupté à se laisser couler dans le désastre : quand il n'y a presque plus rien à perdre, autant tout perdre. »
« Tout le travail de l'amour consiste à oublier d'un être ce qu'on en savait au premier jour. »