« Enseigner la gestion de son corps, réinventer ce que l'on appelait l'éducation sanitaire, et ce dès l'école. »
« La vie, c'est comme le métro, lorsqu'une porte s'ouvre il faut foncer. »
« Qui a la force a souvent la raison, en matière d'Etat. »
« Vivre, quelle souffrance, et quelle souffrance sans partage ! »
« La vie ? Elle passe rapide comme l'éclair, ne donnant pas ce qu'elle promet. »
« L'art n'est que de l'arbitraire mis en conserve. »
« On n'est responsable que par-devers soi. On ne peut pour les autres que ce que l'on peut pour soi. »
« L'enfance ne se vit pas dans l'action mais dans quelque chose de plus subtil, qu'on appelle l'innocence à défaut de pouvoir la mieux nommer. »
« Mieux vaut profiter des expériences faites par d'autres que de les faire soi-même. Mieux vaut croire que voir. »
« Quand on vit enfin, on ne réfléchit pas sur ce qu'on vit : on en profite tout simplement. Le questionnement vient après, une fois que le corps s'est délesté de sa fureur de vivre. »
« Rien de plus pathétique que le dérisoire. »
« Nul combat ne vaut l'effort si la victoire n'est acquise à l'avance. »
« Je ne m'en connais d'autres que ceux de l'Eglise et de l'Etat. »
« En spiritualité, il est dangereux de marcher seul... Car l'essence de la vie intérieure, c'est l'obéissance. »