« Le mort ni le prisonnier n'a plus ni ami ni parent. »
« A vaillans cuers, riens impossible. »
« Es-tu triste ? Cherche autour de toi un service à rendre, une peine à consoler... »
« Toute forme d'art est une tentative pour rationaliser un conflit d'émotions dans l'esprit de l'artiste. »
« Le bonheur est éphémère, il passe sans s'arrêter, il s'attarde parfois, l'espace d'une illusion, mais rares sont ceux qui savent le retenir, le garder. Il est si fragile, si vulnérable, il suffit de trois fois rien pour l'effrayer, le voir fuir à jamais. »
« Il ne peut y avoir de totalité de la communication. Or la communication serait la vérité si elle était totale. »
« La vie étant un éternel recommencement, seule l'acceptation de la défaite signifie la fin de tout. Tant et aussi longtemps que l'on sait recommencer, rien n'est totalement perdu. »
« Aujourd'hui, tout le monde pose. L'homme propose, la femme dispose, l'industrie expose, le commerce dépose, les sciences composent, et les grands hommes reposent. »
« Faire l'amour, en soi, ne libère pas les femmes. La question, c'est de savoir de quelle sexualité les femmes doivent se libérer pour la vivre bien. »
« Il faut renverser les monuments pour voir les vers qui grouillent. »
« Le métier de journaliste ressemble assez à celui de couturier : de fil en aiguille, plus on avance sur un sujet, plus il change d'allure. »
« J'aimerais mieux aller hériter à la poste que d'aller à la postérité. »
« La philosophie de l'artillerie : Cogito ergo boum. »
« J'aime mieux être tiré à quatre épingles qu'à quatre chevaux. »