« Je vis, je meurs: je me brule et me noie, - J'ai chaud extrême en endurant froidure; - La vie m'est et trop molle et trop dure, - J'ai grands ennuis entremélés de joie. »
« On doit continuer à chercher pour trouver. Quand le soleil se perd dans la nuit, l'espoir guette un reflet. »
« Souffrir passe. Avoir souffert ne passe pas. »
« Nous ne désirons pas d'armes, car la violence engendre la violence. Mais parfois nous pensons que la paix suscite autant de virulence. »
« Ce ne sont pas les miracles qui manquent, c'est l'émerveillement. »
« La révolution sera la floraison de l'humanité comme l'amour est la floraison du cœur. »
« La peinture peut être traduite, comme la musique, comme les objets, comme tout ce qui n'appartient pas au langage. Mais traduite par équivalences, par des mots, des rythmes, des sonorités. »
« J'ai toujours éprouvé une fascination pour l'aiguille et son pouvoir magique. »
« Certains déserts ne se traversent que dans un sens. »
« L'amitié sans confiance c'est une fleur sans parfum. »
« Le mensonge est plus mortel encore que la solitude. »
« Il y a des moments où le courage des uns naît de la faiblesse des autres. »
« Une vocation ne se nourrit pas de grands rêves. »
« La comédie, c'est le sentiment d'être dedans et dehors; c'est notre fascination pour la mécanique mystérieuse de la scène, bien réelle devant nous, mais aussi fictive; très intense mais aussi destinée à s'évanouir après la représentation. »