« Je m'ennuyais. Voilà comment ça a commencé. Elle m'ennuyait, voilà comment ça a fini. »
« L'amour, c'est de la physique, le mariage c'est de la chimie. »
« Dieu a inventé le Parisien pour que les étrangers ne puissent rien comprendre aux Français. »
« Combien avaient raison les Anciens qui n'avaient qu'un même dieu pour les marchands et les voleurs. »
« Ne discutez jamais, vous ne convaincrez personne. Les opinions sont comme des clous ; plus on tape dessus, plus on les enfonce. »
« Les chaînes du mariage sont si lourdes qu'il faut être deux pour les porter. Quelquefois trois. »
« Ma souffrance est ma vengeance contre moi-même. »
« Quand on voit la vie telle que Dieu l'a faite, il n'y a plus qu'à le remercier d'avoir fait la mort. »
« Oui, Bach, Mozart, Dieu, elles commencent toujours par ça. Ça fait conversation honnête, alibi moral. Et quinze jours plus tard, trapèze volant sur le lit. »
« Le travail est indispensable au bonheur de l'homme; il l'élève, il le console, et peu importe la nature du travail, pourvu qu'il profite à quelqu'un: faire ce qu'on peut, c'est faire ce qu'on doit. »
« Nous faisons chambre à part, nous allons dîner chacun de notre côté, nous prenons nos vacances séparément; nous faisons tout ce que nous pouvons pour sauvegarder notre mariage. »
« L'amour vrai rend toujours meilleur, quelle que soit la femme qui l'inspire. »
« La regardant dormir, il conjugua silencieusement le verbe faire l'amour au passé, au présent et, hélas ! Au futur. »
« Quand nous nous marions, c'est pour trouver dans notre femme ce que nous avons inutilement demandé aux femmes des autres. »