« Mieux vaut être dans le ventre de l'ours qu'entre ses crocs. »
« Il y a dans la vie des instants de bonheur qu'aucun poème ne peut résumer. »
« Les rats nous observent dans l'ombre de leurs égouts. Ils se lissent les moustaches de joie car ils n'ignorent pas que notre civilisation fermera bientôt son guichet. »
« Malgré les épreuves il faut continuer de sourire à la vie. Autrement, elle se fâche et coupe vite le courant à ceux qui ont cessé de croire en elle et de l'aimer dans la souffrance comme dans la joie. »
« Le nombre des différences, soit physiques, soit morales, qui se remarquent entre l'homme et les animaux mamellés, est beaucoup plus grand que la somme de leurs ressemblances. »
« Les fées nous endorment, nous ouvrent les portes de leur royaume, qui se referment sur nous sans qu'elles aient pris la précaution de nous en remettre la clé. »
« Il n'y a que deux endroits - Où l'on n'a pas à se gêner: - Chez soi et chez les autres. »
« Que nous vaut la liberté sans le pouvoir d'agir ? C'est une belle lampe magique dont la lumière, le secret nous est inconnu. »
« Je suspecte la mort d'être infiniment plus fidèle qu'une chienne, qu'une brosse à dents ou qu'une femme. »
« Les chevaux barbas ou de Barbarie diffèrent des arabes non par la taille, qui est à peu près la même, mais par la croupe, qui est un peu plus longue... On distingue facilement un cheval anglais d'un barba par les oreilles, qui sont plus longues. »
« Le hasard est une loi que tout le monde applique sans le savoir. »
« Tous ceux qui respire le bonheur doivent un jour ou l'autre l'expirer. »
« Lorsqu'elle joue ou qu'on la caresse (la marmotte), elle a la voix ou le murmure d'un petit chien ou le ragoulement d'un chat. »
« C'est l'homme tout entier qui est conditionné au comportement productif par l'organisation du travail, et hors de l'usine il garde la même peau et la même tête. Dépersonnalisé au travail, il demeurera dépersonnalisé chez lui. »