« Mieux vaut maintenant un oeuf que dans le temps un boeuf. »
« Les rats nous observent dans l'ombre de leurs égouts. Ils se lissent les moustaches de joie car ils n'ignorent pas que notre civilisation fermera bientôt son guichet. »
« Le nombre des différences, soit physiques, soit morales, qui se remarquent entre l'homme et les animaux mamellés, est beaucoup plus grand que la somme de leurs ressemblances. »
« Un ingénieur ne doit pas être amoureux: l'amour conduit aux fautes de calcul. L'industriel avisé facilité le mariage de ses ingénieurs, et leur offre une pleine lune de miel : il a ainsi devant lui quelques années de calculs exacts. »
« Je suspecte la mort d'être infiniment plus fidèle qu'une chienne, qu'une brosse à dents ou qu'une femme. »
« Les chevaux barbas ou de Barbarie diffèrent des arabes non par la taille, qui est à peu près la même, mais par la croupe, qui est un peu plus longue... On distingue facilement un cheval anglais d'un barba par les oreilles, qui sont plus longues. »
« Ne vous plaignez jamais du client à caractère difficile car il est la cause de vos progrès. Traitez les autres mieux encore : ils sont les raisons de vos bénéfices. »
« Lorsqu'elle joue ou qu'on la caresse (la marmotte), elle a la voix ou le murmure d'un petit chien ou le ragoulement d'un chat. »
« A 20 ans, la femme est instable, c'est l'Asie. A 30 ans, elle est ardente, c'est l'Afrique. A 40, elle est technique, c'est l'Amérique. A 50, elle est hors circuit, c'est l'Australie. A 60, elle regrette de n'avoir pas joui plus de la vie, c'est l'Europe. »
« Etrange, cette vie prêtée et aussitôt retirée. Dieu, s'il existait, manquait décidément de générosité. »
« Les femmes préfèrent être belles plutôt qu'intelligentes parce que, chez les hommes, il y a plus d'idiots que d'aveugles! »
« Achetez la presse, et vous serez maîtres de l'opinion, c'est-à-dire les maîtres du pays. »
« Ne vous plaignez jamais d'un client difficile car il est la cause de vos progrès. Traitez les autres mieux encore: ils sont les raisons de vos bénéfices. »
« La solitude est comme le feu : on s'approche et l'on se réchauffe ; on s'approche un peu plus et l'on se brûle. »