« Les lois sont dangereuses quand elles retardent sur les moeurs. Elles le sont davantage lorsqu'elles se mêlent de les précéder. »
« Si l'homme pensait davantage à la fin du moi, ses fins de mois lui paraîtrait bien dérisoires. »
« Certains êtres féminins ont cette secrète propriété de pouvoir affirmer chacune de leurs laideurs avec tant de tact que celles-ci en deviennent des avantages. »
« Le monde d'un homme heureux est un autre monde que celui du malheureux. »
« Est-ce que, lorsqu'on sait que l'on va partir, on acquiert une lucidité qu'on n'a pas eue auparavant ? »
« Qu'est-ce qui, dans les préceptes de la science, empêche les savants de faire le mal ? »
« Le savant dont les moeurs sont déréglées ressemble à un aveugle qui porte un flambeau dont il éclaire les autres, sans pouvoir s'éclairer lui-même. »
« L'homme heureux ne se sent bien que parce que les malheureux portent leur fardeau en silence. Sans ce silence, ce bonheur ne serait pas possible. »
« Faire le bien ne peut pas rendre heureux mais faire le mal rendra à coup sûr malheureux. »
« La science est une chose trop importante pour être laissée entre les mains des seuls savants. »
« Malheureusement, dans les rapports entre les gens, seuls comptent les gains et les pertes. »
« L'amour véritable n'est jamais malheureux. »
« Pour ne pas devenir très malheureux, le moyen le plus certain est de ne pas demander à être très heureux. »
« Une raison futile diminue le poids des bonnes raisons qu'on avait données auparavant. »