« - Vous êtes marié ? Vous ne vous êtes jamais disputé, vous ?- Oui, mais jamais à coups de fer à souder.- Ben, c'est parce que vous n'êtes pas bricoleur ! »
« La naïveté grotesque des enfants fait peine à voir, surtout si l'on veut bien la comparer à la maturité sereine qui caractérise les adultes. Par exemple, l'enfant croit au Père Noël. L'adulte non. L'adulte ne croit pas au Père Noël. Il vote. »
« Croyez-moi : homme en retard, liaison dans le tiroir. »
« Dès que l'adulte tue le mythe de l'existence du Père Noël, il oublie le miracle du vrai partage qui existe dans le cœur de l'enfant. »
« Attendre le courrier comme on attend le Père Noël est un trait commun à tous les écrivains. »
« Devenir adulte, c'est reconnaître, sans trop souffrir, que le «Père Noël» n'existe pas. C'est apprendre à vivre dans le doute et l'incertitude. »
« Ce n'est pas parce que vous avez une barbe blanche que l'on doit vous prendre pour un Père Noël; mais, d'un autre côté, la barbe blanche est peut être l'indice qu'il y a un peu de sagesse en vous ! »
« Ne pourrait-on pas fixer la Saint Sylvestre au 15 août, afin que le père Noël évolue enfin dans des cheminées éteintes ? »
« Les parents du Père Noël auraient aussi souhaité que leur fils existe vraiment. »
« C'est la LUCIDITE, la fautive, elle met les poètes en lambeaux, elle qui vous apprend un jour que le père Noël n'existe pas. Elle qui vous bouffe l'enfance. »
« J'avais mis mes souliers devant la cheminée, le père Noël m'a apporté des pieds. »
« Il y a quatre âges dans la vie de l'homme: - celui où il croit au Père Noël; celui où il ne croit plus au Père Noël; - celui où il est le Père Noël; - celui où il ressemble au Père Noël. »
« Devenir adulte, c'est reconnaître, sans trop souffrir, que le père Noël n'existe pas. »
« On dit que la jeunesse ne croit plus à rien. Quelle tristesse... Et si un jour le Père Noël ne croyait plus aux enfants! »